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Par Bettyboopjade le 7 Octobre 2015 à 18:42
Oh... Vedran est sénior. Bah ça va, il n'a pas trop mal vieilli je trouve.
T'appelle Stéphane ?
Yuna : Oui. Il arrive.
Stéphane est chaud boulette !
Regardez-moi cet air de conquérant !
Yuna : Betty...
Ok.
Yuna : C'est le quantième déjà ?
Mère indigne !
Yuna : Non mais des miens je sais mais bon...
C'est ça, rattrape-toi... C'est le 35ème bébé.
Stéphane prend la chose plutôt bien. Tu vas me dire si il n'avait pas encore compris après que ses 5 potes soient papas...
Nous voilà chez Monsieur mystère qui cette fois est chez lui ou a daigné ouvrir la porte. Au choix.
Yuna : Betty... Il est maquillé...
Ouais ben il ne l'est pas avec sa tenue normale, là c'est sa tenue de travail.
Yuna : Mais quand même... C'est perturbant...
Fais un effort. Bon il s'appelle Lucas François. Il est actif, gourmand et romantique.
Lucas : Il faut que je t'avoue quelque chose Yuna... Je suis marié...
Yuna : Oh tu sais, ce n'est pas grave, je ne cherche pas une relation sérieuse...
Lucas : ...avec un homme.
Yuna : Ah... oui effectivement je ne dois pas t'intéresser beaucoup dans ce cas.
Lucas : En fait, je suis bisexuel mais ça fait très longtemps que je n'ai pas eu de relation avec une femme.
Yuna : Dans ce cas je peux te rafraichir un peu la mémoire si tu veux...
Lucas : Je ne sais pas trop...
Yuna : Laisse-toi faire... Ton mari n'en saura rien...
Lucas : Tu es si belle...
Yuna : Je te laisse réfléchir. Je te rappelle.
Lucas : ...
Après cet échange pour le moins particulier, Yuna alla rendre visite à Cleis.
Et elle tomba sur une petite surprise à l'intérieur... Voilà Anton Beckett, un charmant jeune homme provenant de la galerie d'Angerouge.
Cleis et lui sont fous amoureux l'un de l'autre et ils se sont mariés. Pour fêter ça, Yuna prépare un bon repas.
Ben oui, pourquoi s'assoir quand on peut manger debout ?
Ensuite, un petit crochet par chez Delhya. En même temps c'est la maison d'à côté...
Delhya est au travail mais sa moitié nous accueille. Car oui elle aussi à trouvé chaussure à son pied en la personne de Grim Duvent qui vient de chez Casiopeia.
Et enfin un petit tour par chez Zach pour voir que la petite Elodie a grandit ! (Oui je me suis trompée la dernière fois, la fille de Vedran s'appelle Isabelle.)
Visiblement Elodie apprécie beaucoup Mamy Yuna !
Yuna : Ça fait un moment qu'on a plus de nouvelles de Castiel ni de papa...
Appelles-les.
Yuna : J'ai essayé et c'est toujours le répondeur.
Yuna : Je suis vraiment inquiète...
Ne t'inquiète pas, je suis sûre que tout va bien.
Le lendemain, alors que les enfants font sagement leurs devoirs...
*Toc-toc*
Yuna : Ca... Castiel ? C'est bien toi ?
Castiel : Bien sûr que c'est moi ! Tu ne me reconnais pas ?
Yuna : Si, mais tu es si... jeune !
Castiel : Je ne pouvais pas me résoudre à te laisser et puis on a encore énormément de travail avec ton père et ton oncle donc je suis retourné au paradis et nous revoilà jeunes.
Yuna : Tous les trois ?
Castiel : Et oui !
Yuna : Bon, je dois aller voir les jumelles mais attends-moi ici d'accord, il faut qu'on parle.
Yuna : Oh ma chérie ! Alors c'était ça la surprise dont tu me parlais dans ton sms ?
Bella : Et oui ! Mais ce n'est pas tout ! Entre.
Angie : Moi aussi maman !
Yuna : Oh ma puce, je suis si heureuse !
A peine eut-elle passé la porte que Yuna se rua sur Castiel pour l'embrasser fougueusement.
Eve : YUNA ! NON !
Yuna : Castiel, je te rappelle plus tard ok ? Il faut que je parle à ma mère...
Castiel : Bien sûr ma belle.
Eve : Ma fille, je peux savoir ce que tu fais ?
Yuna : Ce que je fais ?! Et bien je suis un être humain et j'ai des sentiments. Sur ce, bonne nuit !
Eve : Yuna !
Heu...
Yuna : Laisse-moi tranquille, j'ai pas envie de parler.
...
Plus tard dans le nuit...
Yuna : T'es encore là ?
Eve : Je te demande pardon ma chérie. C'est hypocrite de ma part de te reprocher quelque chose que j'ai moi-même fait mais c'est justement parce que j'ai énormément souffert que je veux t'éviter la même chose...
Yuna : C'est pas pareil. Castiel est immortel et je n'arrêterai pas le challenge, il le sait et le comprend.
Eve : Bon dans ce cas... si tu es sûre de toi...
Yuna : Oui je suis sûre. J'ai droit au bonheur moi-aussi.
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